Ce qu'en dis la couv' : Heather Wells, ex-lolita de la pop, ne veut plus être victime de la mode. Elle se sent très bien en jean. Et sa vie d’avant, les paillettes et les larmes, non merci. Elle décroche un job dans une résidence d’étudiants où l’on ne s’ennuie vraiment pas : deux filles meurent coup sur coup. Heather est persuadée qu’il s’agit de meurtres. Ça tombe bien, le sublime garçon qui l’héberge dans sa sublime maison – Cooper – est détective. Une nouvelle vie commence pour Heather !
Ce que j'en dis : J'écris cette critique bien après avoir terminé de lire le bouquin, le temps de me remettre de cette indigestion littéraire oO Autant j'adore la plupart des ouvrages de Meg Cabot, autant là je n'ai pas très bien compris où elle essayait de m'emmener. Je n'ai pas accroché avec le personnage d'Heather, l'héroïne du roman qui a laissé derrière elle sa carrière de chanteuse. Quand on lit la quatrième de couverture, on s'attend à une romance dès les premières pages avec le "sublime" Cooper, on est donc déçus de devoir attendre les dernières pages pour qu'il se passe un semblant de quelque chose... Et que dire de l'intrigue ! Deux jeunes filles décèdent coup sur coup dans un tragique accident d'ascenseur, mais notre héroïne pense qu'il s'agit d'un meurtre et mène l'enquête. J'ai pendant un bref instant, espéré au moins me délecter de cette pseudo-enquête policière, mais là encore, Meg Cabot arrive à me décevoir. Le personnage d'Heather en enquêtrice n'est pas crédible et l'auteur a voulu un dénouement tellement grandiose : imaginez Heather ligotée sur une chaise tenue en joue par son/sa ravisseuse, que les raisons du pourquoi/du comment nous laisse dans un scepticisme qui ne nous quittera pas jusqu'à la fin du bouquin. Bref, à moins que je ne sois obligée de poursuivre la lecture des autres livres de la série pour un autre Chicklit Challenge, je ne compte pas m'y intéresser.
Avancée du chicklit Challenge 7/20
